Le migrant ne peut plus faire fonctionner la figure du déracinement de l’immigré. Il invente de nouvelles mobilités entre frontières et de nouvelles formes de lien très actifs qu’il conserve à distance. Cette présence connectée maintient de façon prégnante tous les liens avec le pays d’origine et se joue des contrôles. Et si la circulation était devenue une condition permanente et partagée ?
https://drive.google.com/file/d/1CHksewVcCbKw2UkSS2l9Xgkdk4i8FDty/view?usp=sharing